On a quitté Lionel fin 2020, après son récit « Ma bataille ». On le retrouve presque 3 ans après pour découvrir la suite de son parcours dans un nouveau témoignage sur « Vivre après un cancer ».
Avez-vous connu de nouveaux problèmes de santé ?
Comme expliqué dans mon premier récit, j’ai subi une intervention chirurgicale pour enlever le sarcome. Comme il bouffait partiellement la veine iliaque gauche, le chirurgien a pratiqué une greffe à ce niveau, un peu plus bas que l’aine.
Début 2021
Début 2021, j’étais en souffrance, ma jambe gauche étais énorme.
Je suis alors allé voir un angiologue local, déjà consulté par le passé, avec le résultat de mon opération. Il m’a très mal accueilli et dit : « je ne fais pas dans le service après-vente, vous avez été opéré à Lyon, retournez-y. »
Puis j’ai sollicité une infirmière qui m’a fait partir à Lyon, à Mermoz. L’angiologue, le Dr Morin, m’y a reçu très gentiment. Il travaille avec le Dr Aleksic, chirurgien vasculaire qui a fait la greffe.
J’ai ainsi appris par l’angiologue que la veine greffée s’était bouchée, provoquant une phlébite 9 mois après l’intervention. Il était même surpris que ce ne soit pas arrivé avant. Aucun médicament pour fluidifier le sang ne m’avait été prescrit après la greffe.
Je suis resté une soirée au scanner et puis rentré à la maison le lendemain matin.
J’ai alors attendu que la phlébite dégonfle petit à petit avec les piqûres régulières et les comprimés.
J’ai ainsi mis un bon mois à récupérer, aidé par les séances de pressothérapie chez la kiné. Puis j’ai repris le sport.
Premier trimestre 2022
Un mardi de février 2022, j’ai fait une séance de footing en fractionné 30 30. Parce que ça tenait et que je voyais que ça avançait bien, j’ai forcé sur la jambe opérée, la gauche.
2 jours après, j’ai commencé à ressentir une petite douleur derrière la cuisse gauche. Je me suis dit « j’ai trop forcé, ce n’est pas grave, ça va s’arranger ». Le soir même, poussée de fièvre, « j’ai eu un coup de froid ».
J’ai pris du doliprane, la fièvre est tombée. Pendant 3 soirs, même scénario : la fièvre est arrivée puis retombée avec la prise d’un médicament. En revanche, la douleur dans la cuisse a empiré.
Le samedi, j’ai accompagné des jeunes de mon club de tir à l’arc de la ville d’à côté. Comme j’avais du mal à marcher, j’ai pris une béquille. « Dis donc, tu t’es drôlement fait mal, il va falloir faire attention. »
Le lundi, on est retourné à Lyon chez l’angiologue pour une consultation de mon épouse. J’ai préféré faire le trajet et m’éviter ainsi l’accueil désagréable de l’angiologue local.
Ne pouvant plus poser le pied par terre, j’y suis donc allé avec deux béquilles. « Mais qu’est-ce qui vous arrive ? » me dit le Dr Morin. Moi : « Je ne sais pas, j’ai dû me blesser en courant et me suis fait mal. » Lui : « Je m’occupe de votre épouse et je vous vois après. »
Claquage
Il a réalisé un examen d’échodoppler dans ma cuisse. « Mais qu’est-ce que vous avez fait ? Vous avez un gros épanchement sanguin dans la cuisse. C’est un gros claquage. » Moi :« J’ai sûrement dû me blesser. »
Lui : « Il va falloir se calmer, faire attention et vous reposer. »
Je ne lui ai pas dit tout ce que je faisais comme sport. Environ 1h par jour, entre la salle de sport, le vélo, le footing… Après un cancer, je m’étais remis à vivre (presque) normalement.
L’après-midi, j’ai vu le Dr Meeus pour un examen de contrôle. Il m’a alors dit qu’il allait falloir surveiller ça et se reposer. Il m’a donné un comprimé de je ne sais pas quoi. « Si cela ne va pas mieux, rappelez-moi et on verra ce qu’il en est. »
Dans la nuit du mardi au mercredi, la douleur était intenable. Je me suis réveillé 3 fois dans la nuit pour passer de l’eau froide sur la jambe.
Le mercredi, on a appelé l’infirmière que l’on connaît bien depuis toute petite. Elle est passé et a décidé d’appeler le chirurgien de Lyon. Le problème touchait en effet la jambe opérée et partiellement dénervée. Il m’a dit de venir.
J’y suis arrivé le mercredi soir. « On vous garde cette nuit dans le service de chirurgie mais dès demain, on vous met en soins intensifs pour vous garder sous surveillance car on ne sait pas du tout ce que vous avez. On va vous faire des examens de sang. »
Le lendemain matin, il m’a envoyé en soins intensifs. J’y ai perdu la notion du temps et des souvenirs, notamment la visite de ma femme. C’était probablement dû à la morphine ou d’autres produits qui m’ont fait déconnecter. Je n’ai aucun souvenir de la visite de ma femme le samedi.
Erysipèle
Le samedi, les résultats sont tombés, avec le diagnostic de l’érysipèle. « Vous avez failli perdre un rein mais on a finalement réussi à le sauver. On va vous garder en soins intensifs pendant encore une semaine et travailler avec la Croix-Rousse qui a établi le diagnostic. »
L’érysipèle est causé par un micro-organisme, un streptocoque, qui s’infiltre dans l’organisme et l’infecte au niveau de la peau. Dans mon cas, c’était évidemment dans la mauvaise jambe, la gauche, que l’infection s’était installée.
Ils m’ont mis sous perfusion d’antibiotique 3 fois par jour et un comprimé 3 fois par jour. Et du Smecta au kilo parce que j’avais les intestins en vrac.
Il y a eu télescopage entre l’érysipèle et le claquage. Ma jambe gauche était énorme de la hanche jusqu’au bout des orteils, rouge et brûlante.
Petit à petit, le gonflement s’est atténué, ma jambe a pelé comme si j’avais eu un coup de soleil. Par contre, j’avais des zones qui restaient assez dures dans la cuisse, derrière le mollet et je ne pouvais pas étendre la jambe.
Après 10 jours en soins intensifs, je suis reparti en chirurgie pour un séjour de 20 jours.
Au bout de 15 jours, j’ai enfin pu me lever avec le déambulateur. Je me promenais dans le couloir mais sans pouvoir poser la jambe gauche par terre.
Les veines de mon bras ne tenant plus après les premières injections, ils m’ont alors remis un PICC Line. Au total, j’ai passé 3 semaines sous perfusion. Ma femme m’a rapporté le manchon de protection pour la douche acheté sur Amazon pendant mon parcours de soins. En bon militaire, je m’adapte et trouve toujours des solutions.
Depuis mars 2022
Cela fait un an et demi que rien ne s’est passé. Après un cancer, une phlébite et un érysipèle en février – mars 2022, j’ai pu vivre sans nouvelle complication.
J’ai quelques gênes dans la journée au niveau de ma jambe. Elles se transforment de temps en temps en élancements assez vifs dans le pied gauche. Comme me l’a expliqué le Dr Meeus, ce sont les nerfs qui repoussent et se recréent un passage dans la jambe.
Tous les 6 mois, j’ai des rendez-vous médicaux de contrôle et des examens complémentaires qui rythment la vie après un traitement contre le cancer. J’ai récemment vu l’angiologue, tout va bien. Le canal principal de la veine est bouché mais des petites veinules se sont créées en remplacement.
Comment avez-vous abordé l’activité physique ?
Jusqu’en février 2022
En juillet 2020, avec la kiné qui m’a suivi, je me suis fixé un premier challenge après le cancer : retrouver le bonheur de trottiner de nouveau.
En fin d’année 2020, j’ai réussi à courir 1 km sans m’arrêter.
Puis la phlébite début 2021 a tout foutu en l’air. Il a fallu tout reprendre à zéro.
Cette fois-ci, c’est un plus long challenge que je me suis fixé, les 10km du charolais. J’avais 2 à 3 séances par semaine avec ma kiné. Je ne faisais jamais les mêmes mouvements. Elle avait vraiment la science infuse. Je lui demandais régulièrement comment elle faisait pour avoir toutes ces techniques. « J’y pense la nuit » me répondait-elle. Elle est vraiment extra !
J’ai fait pas mal de sport et atteint mon objectif au mois de novembre 2021 où j’ai pris un dossard sur un 10km. Même si j’ai mis deux heures là où d’habitude j’en mettais une, j’étais très content de vivre cette expérience après un cancer. D’autant plus que cette course était symbolique pour moi. Elle était en effet organisée par l’ancien club de course à pied dont j’ai été président.
Je l’ai courue avec une ancienne présidente du club, avec qui je m’entendais bien. Elle m’avait coachée un peu dans ma reprise après la phlébite. Ma femme était sur la ligne d’arrivée.
Après la course, j’ai continué à faire pas mal de sport. Plus je voyais que je pouvais tenir, plus j’en faisais. Bref, je forçais un peu trop … jusqu’au claquage en février 2022.
Cela m’a d’ailleurs valu de me faire gronder par l’angiologue de Lyon lorsque j’étais en soins intensifs. Mon fils avait en effet fini par lui expliquer tout le sport que je pratiquais. « Vu tout ce que vous faites, il va falloir se calmer. »
Depuis mars 2022
J’ai poursuivi les séances de kiné jusqu’à l’été 2023.
Je me suis mis à l’escrime, qui compense bien la kiné arrêtée. Cela fait travailler ce qu’il faut, en particulier les adducteurs. Et c’est assez physique. La jambe gauche ne me gêne pas trop, même si elle rend plus compliqué le moment de se lancer en avant.
Je fais un peu de vélo, de la marche et du tir à l’arc que je n’ai pas arrêté depuis 4 ans.
Je suis obligé de porter mon attelle dès que je fais du sport, pour que le pied reste à 90° et la pointe levée. Lorsque je ne la porte pas, le pied tombe et puis ça frotte par terre. Il n’y a qu’à la maison que je ne la porte plus.
Je ne recours, ou plutôt, ne retrottine pas. Même si j’en ai envie, je n’ai pas encore trouvé le courage.
J’ai quand même repris une licence d’athlétisme handisport sur mon club d’avant, à 25 km. Je vais me rapprocher du club d’athlétisme local, pour voir si je peux bénéficier de la piste les mardis, pour trottiner sur un revêtement souple et faire quelques tours de terrain.
Je fatigue plus vite, le souffle manque un peu. En fait, je suis un peu comme un moteur diesel. A l’escrime, le premier quart d’heure est compliqué. Après, je trouve mon rythme, le temps que la machine se mette en marche.
Avez-vous vécu des moments psychologiquement difficiles ?
Peur de mourir
Lors de mon arrivée en soins intensifs, j’ai eu très peur de mourir. Car on ne savait pas ce que j’avais. On ne maîtrisait pas. La peur de l’inconnu.
Je me souviens avoir vu mon fils et me dire : « je vais partir sans avoir eu le temps de tous les voir. »
Cela arrivait pourtant après le cancer mais n’avait rien à voir avec ce que j’avais vécu auparavant. A l’époque, lorsque j’étais parti au bloc opératoire, j’y étais allé debout, en sachant les risques. J’avais pris la décision de me faire opérer en connaissance de cause. Si je perdais le nerf sciatique et la jambe, tant pis. Même si cela n’avait pas été facile, que j’avais craqué, que les nerfs avaient lâché, à la 6ème séance de chimio. J’avais même accepté de voir une psychologue cette fois-là, pour m’aider à passer la perte de moral qui a duré 2 jours.
Transfert
Quand mes soins se sont arrêtés, en septembre 2020, on a découvert un cancer du pancréas chez un collègue. Sa femme a dit à Geneviève, mon épouse : « pour Lionel, c’est fini ; maintenant, c’est à nous, Bernard a un cancer. »
J’ai eu alors le sentiment d’un transfert, un sentiment de culpabilité, je me disais « je m’en suis sorti, mais lui ne va pas s’en sortir, ce n’est pas juste ». ». Si ç’avait été une autre personne, que je ne connaisse pas ou simplement de vue, cela aurait été différent. Mais là, c’était un bon collègue et j’étais bouleversé.
Quand je suis allé à Mermoz chez l’angiologue pour mon claquage, je lui ai rendu visite dans la chambre où il était hospitalisé. Ne pouvant plus marcher, j’y suis allé en fauteuil roulant poussé par mon épouse. On s’est regardé tous les deux comme si on se disait au revoir.
C’est pendant mon hospitalisation en soins intensifs qu’il est décédé. La veille, j’avais appris par mon épouse qu’il était revenu à Mermoz. J’avais envoyé un sms à sa femme. « Dis à Bernard qu’il se batte, qu’il ne mette pas un genou à terre, le combat n’est pas fini, il va gagner. » Je suis descendu boire un café à la cafétéria de Léon Bérard.
Le temps de remonter, j’avais un message « il n’est plus là, il est parti ». Là, j’ai éclaté en sanglots puis j’ai appelé sa femme. Elle a collé le téléphone à son oreille pour que je puisse lui dire au revoir. Je me doutais que je ne pourrais pas participer à ses obsèques parce que j’en avais encore pour 10 jours d’hospitalisation.
Depuis son décès, ce sentiment de transfert s’est atténué, je me sens un peu libéré.
Dépendance
Pendant mon séjour aux soins intensifs, je ne pouvais pas me lever, branché de partout.
Ce que j’ai trouvé très dur à accepter et admettre, c’était de ne plus être autonome pour la toilette, faite par les aides-soignantes.
J’ai dit à une petite jeune de 25 ans à quel point cela me gênait. « Ne vous inquiétez pas M. Cavalier, c’est notre travail ». Cela a duré pendant une dizaine de jours.
Faites-vous de nouvelles découvertes ?
Implication des soignants
J’ai re-découvert après le cancer à quel point le suivi des patients par les équipes de Lyon était top, à tous les niveaux, administratifs, aides-soignants, infirmières, médecins, socio-esthéticienne. Ils montrent une énorme empathie, que l’on ne voit pas en province.
Je l’ai vu dans le service de soins intensifs et de chirurgie de Léon Bérard. Également de la part de l’angiologue, qui m’a appelé pour prendre de mes nouvelles lorsque j’étais en soins intensifs.
A chaque visite à Léon Bérard, je fais mon tour : Dominique à l’accueil, Agnès la socio-esthéticienne, en chirurgie auprès des infirmières, au service de chimio où j’apprécie de revoir notamment 2 personnes avec qui j’ai tissé quelques liens d’amitié. Ça me fait plaisir et ça leur fait plaisir d’avoir des retours et de me voir en forme.
Le corps et l’ego
Pendant ma dernière hospitalisation, j’ai revu Agnès, la socio-esthéticienne, déjà rencontrée à plusieurs reprises lors de mes précédentes hospitalisations. Comme auparavant, je me suis confié à elle.
A la fin de notre discussion, elle m’a dit : « là, c’est votre égo qui parle Monsieur Cavalier. Vous en faites trop. Maintenant, c’est votre corps qu’il faut écouter. »
Un an et demi après, je l’ai revue et lui ai ressorti : « Vous vous souvenez de ce que vous m’avez dit ? Je n’écoute plus mon ego, j’écoute mon corps. »
Je ne me mets plus d’objectif sportif mais je recherche le plaisir. Si j’ai trop mal, j’arrête. J’essaye de ne pas me mettre dans le rouge.
A part le sport, quelles sont vos autres activités ?
Actions en justice
J’ai lancé une procédure contre l’hôpital de Paray-le-Monial. En effet, j’y avais passé un scanner en 2017 pour une cruralgie déclarée juste avant de partir en retraite. Ils n’ont pas vu qu’il y avait la tumeur à gauche. Elle ne se voyait pas de l’extérieur mais ménageait sa place dans les intestins depuis plusieurs années. Elle avait déjà une taille importante (15 cm).
Je ne sais pas ce qui m’a pris de prendre les résultats de ce scanner à mon deuxième rendez-vous avec le Dr Meeus en 2019. A leur lecture, le docteur m’a dit : « M. Cavalier, votre tumeur était déjà là et j’aurais pu l’enlever sans gros dégât. »
J’ai obtenu gain de cause dans mon combat juridique et administratif avec la commission et été indemnisé à hauteur d’un handicap de 30%.
J’ai également écrit à l’Ordre des Médecins pour dénoncer l’attitude de l’angiologue de ma région qui n’a pas voulu me recevoir alors que je n’allais visiblement pas bien : je marchais avec des béquilles, ma jambe gauche était extrêmement gonflée et j’avais très mal. L’Ordre m’a fait une réponse de soutien de l’angiologue et je n’ai pas souhaité entamer une procédure.
L'agenda chargé d'un retraité !
Association d’aide aux victimes
Je travaille 2 à 3 jours par semaine (1,5 jours à Mâcon et 1,5 à Chalon-sur-Saône) dans une association d’aide aux victimes d’infractions pénales, principalement des violences conjugales.
Je connais bien le sujet sur lequel j’ai travaillé pendant 20 ans quand j’étais gendarme.
Quand j’étais en activité, la directrice de l’association m’avait dit « Lionel, quand tu prends ta retraite, je t’embauche. » Je l’ai appelé en janvier 2017 pour l’informer de mon départ à la retraite le 1er juin. J’ai commencé dans l’association le 10 juillet.
Je ne suis pas juriste mais accueillant victimes. C’est-à-dire que je e supplée les juristes, fais les premières évaluations et oriente les victimes vers les juristes si besoin. Je peux également traiter certains dossiers à mon niveau.
On a également des dossiers de CRCI (Commission Régionale de Conciliation et d’Indemnisation), de personnes qui veulent attaquer un hôpital. Généralement, c’est moi qui les fais, car je connais la procédure ! Et qu’en bon gendarme, je sais comment constituer un dossier qui tient la route.
Troupe de cinéma amateur
Mon épouse est figurante dans une troupe de cinéma amateur. Un jour, je l’ai accompagnée. Ils installaient une scène dans un tribunal mais ils mettaient tout à l’envers : le procureur à droite alors qu’il doit être à gauche… Je leur ai dit que ce n’était pas correct et comment cela devait être.
« Mais comment tu sais ça ? » « J’ai été gendarme, je sais comment ça se passe. ».
Du coup, je suis tombé dans le piège et ai été recruté pour être figurant.
J’ai ainsi fait de la figuration à Secrets d’histoire, l’émission de Stéphane Bern, sur 4 émissions qui devraient passer en fin d’année et début 2024. C’est dans un château pas loin de chez nous que cette émission est tournée. Le château de Digoine appartient à M. Remilleux, le producteur de Stéphane Bern. Quels que soient l’époque et le pays, les cameramen et réalisateurs arrivent toujours à trouver des angles différents.
Les membres de l’association m’ont également lancé le défi d’écrire un scénario pour un court-métrage.
Et d’autres encore !
Je suis également correspondant pour un hebdomadaire local.
Et je suis par ailleurs responsable de la sécurité au comité Miss Bourgogne.
Le mot de la fin de rue du colibri
Comme après le premier témoignage, nous avons été très touchées par le témoignage de Lionel. Et nous le remercions beaucoup de s’être ainsi livré dans cet article.
Nous en retenons personnellement quelques enseignements.
Dans la vie après le cancer, une remise en cause de certaines habitudes peuvent s’avérer nécessaires. Car le corps a besoin d’un temps de récupération après un cancer. Il convient donc de rester à son écoute et de s’adapter à ses nouvelles capacités.
dans le thorax ou le bras.
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